Déménager, sur le papier, c’est excitant. C’est le début d’une nouvelle vie, d’un nouveau job ou de nouvelles études. Mais dans la réalité ? C’est souvent le parcours du combattant.

Entre la recherche d’appart à distance, l’achat des meubles, l’ouverture des compteurs et, surtout, la peur de se retrouver seul le soir dans une ville inconnue… L’excitation laisse vite place au stress.

Chez nous, on connaît bien ce sentiment. C’est pour ça qu’on a conçu le coliving non pas juste comme un logement, mais comme un accélérateur d’intégration. Mais, plutôt que de vous faire un long discours, on a demandé à ceux qui l’ont vécu de raconter comment ils ont réussi à changer de ville facilement. De Nantes à Rungis, voici comment nos résidents ont transformé l’essai.

1. Lucas, étudiant : « À Nantes et Angers, j’ai posé mes valises et c’était réglé »

Pour Lucas, 22 ans, le défi était le timing. Entre la fin de ses partiels et le début de son stage, il avait 10 jours pour bouger.

« J’ai fait mon Master 1 à Angers et j’ai trouvé un stage à Nantes. Le stress total. Je me voyais déjà dormir sur un canapé gonflable en attendant d’avoir internet. En choisissant le coliving, j’ai littéralement sauté cette étape ‘galère’.

J’suis arrivé avec deux valises. Le lit était fait, le wifi marchait, et mes colocs m’attendaient pour l’apéro. C’est fou comme ça change la donne de ne pas avoir à gérer l’administratif quand on débarque. On peut se concentrer direct sur son stage. »

Le point clé : pour les étudiants et stagiaires, la rapidité d’installation est cruciale. Le « clé en main » (meubles + charges comprises) enlève 90% de la charge mentale.

2. Sarah, jeune active : « À Bordeaux et Lyon, j’ai trouvé ma bande de potes tout de suite »

Sarah, consultante de 27 ans, a l’habitude de bouger pour ses missions. Mais arriver dans une grande métropole comme Lyon ou Bordeaux peut être intimidant et paradoxalement très solitaire.

« Mon angoisse, c’était le métro-boulot-dodo. Je ne connaissais personne à Bordeaux. Le coliving a été mon raccourci social. Dès la première semaine, via l’appli de la résidence, j’ai vu qu’un groupe organisait un footing sur les quais.

Pareil quand j’ai bougé à Lyon six mois plus tard : je savais que je retrouverais cet esprit. On n’est pas juste voisins de palier, on partage des vrais moments de vie dans les espaces communs (la salle de sport, le rooftop…). Ça permet de se sentir chez soi immédiatement, même à 500 km de sa famille. »

Le point clé : La communauté est le meilleur antidote contre l’isolement. Changer de ville devient une opportunité de rencontres, plus une épreuve sociale.

3. Marc, premier CDI : « L’atterrissage en douceur à Rungis »

Quitter le nid familial ou la vie étudiante pour un premier « vrai » job, c’est un cap. Marc, ingénieur logistique, a choisi Rungis pour sa proximité avec son travail, mais craignait l’ambiance.

« On a souvent une image un peu froide des zones très actives économiquement comme Rungis. J’avais peur de m’ennuyer le soir. Finalement, la résidence c’est comme un petit village. On est plein de jeunes actifs dans la même situation. On se donne des coups de main, on cuisine ensemble… Ça rassure énormément pour un premier départ. »

4. Chloé, freelance : « Découvrir Clermont-Ferrand et La Roche-sur-Yon sans attaches »

Chloé est graphiste. Elle aime tester des villes à taille humaine où la qualité de vie est top, sans s’engager sur des baux de 3 ans avec achat de meubles.

« J’ai passé 4 mois à Clermont-Ferrand pour profiter des randos, puis je suis partie à La Roche-sur-Yon pour me rapprocher de la mer. Ce que j’aime, c’est la flexibilité.

À La Roche, je pensais que l’intégration serait plus dure que dans une grande ville, mais la communauté coliving est super soudée. Les locaux m’ont fait découvrir les meilleurs coins tout de suite. Changer de ville devient un jeu, plus une contrainte. »

Envie de tenter l’aventure ?

Que vous soyez étudiant, stagiaire ou jeune actif, ne laissez pas la logistique gâcher votre envie de bouger.

Découvrez nos disponibilités dès maintenant !

Location studio meublé coliving

FAQ
Changer de ville sereinement

Pour vous aider à y voir plus clair, voici les réponses aux questions que nous posent le plus souvent nos futurs locataires avant de sauter le pas.

Est-ce que je peux emménager rapidement ?

Oui. C’est tout le principe. Une fois votre dossier validé (ce qui peut se faire 100% en ligne), vous pouvez emménager très vite. À votre arrivée, tout est fonctionnel : électricité, eau, chauffage et internet très haut débit. Vous n’avez aucune ouverture de compteur à gérer.

Je ne connais personne dans la ville, comment ça se passe ?

Nos résidences à Nantes, Lyon, Bordeaux et ailleurs sont conçues pour favoriser les rencontres. Entre les espaces partagés (salon, cuisine conviviale partagée) et les événements organisés par la Référente, vous rencontrerez vos voisins naturellement, sans forcer. C’est idéal pour se créer un réseau social dès la première semaine.

Le coliving est-il adapté aux jeunes actifs ou seulement aux étudiants ?

Les deux ! Nos communautés sont mixtes. À Rungis ou La Roche-sur-Yon par exemple, nous avons beaucoup de jeunes actifs en mission, en période d’essai ou en premier CDI. La mixité des profils (étudiants en fin de cycle, stagiaires, salariés) crée une ambiance riche et dynamique.

Et si ma mission s’arrête ou si je change de ville à nouveau ?

Le coliving offre une grande flexibilité. Contrairement à une location classique vide où vous êtes souvent coincé avec vos meubles, ici le préavis est généralement plus souple (selon le type de bail, souvent 1 mois en zone tendue). Vous pouvez partir vers votre prochaine aventure l’esprit léger.

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