Quand Maxime, 22 ans, est arrivé à Lyon pour son master en communication digitale, il ne connaissait encore personne dans la ville. Plutôt que d’opter pour une colocation classique, il a choisi de s’installer dans un coliving par Compose, à quelques minutes de son université et du centre-ville.
Ce qu’il pensait être une simple solution pratique s’est rapidement transformé en une expérience de vie qui a marqué toute son année. Dans ce témoignage, Maxime nous raconte, avec ses mots, comment le coliving a contribué à sa réussite, aussi bien sur le plan personnel que dans ses études.
Le témoignage de Maxime
Franchement, je ne pensais pas que ce serait aussi simple. À la base, j’ai choisi le coliving un peu par hasard, surtout parce que c’était tout compris et que je n’avais pas envie de galérer à chercher un appart, à gérer EDF, la box internet et tous ces trucs. J’étais nouveau dans la ville, je ne connaissais personne, et je voulais juste un endroit où poser mes valises sans prise de tête. Mais au final… ça a été bien plus que ça.
Je me souviens de mon premier soir. J’étais crevé du déménagement, un peu stressé, et en descendant à la cuisine, je suis tombé sur trois colivers en train de préparer des lasagnes ensemble. Ils m’ont proposé une assiette, comme si j’étais là depuis toujours. C’était pas grand-chose, mais je me suis tout de suite senti bien. Pas juste logé : accueilli.
Quand les partiels sont arrivés, j’ai vraiment compris la force du coliving. On était trois ou quatre à passer nos exams à la même période, donc on a naturellement commencé à bosser ensemble. Parfois dans le salon, parfois sur la grande table commune. On partageait nos fiches, on se posait des questions… et entre deux sessions, on s’encourageait, on rigolait, on relâchait un peu la pression. Avant, j’avais tendance à réviser tout seul dans ma chambre. Là, c’était tout l’inverse : une vraie petite team.
Ce que je n’avais pas anticipé, c’est tout ce que m’a apporté le fait de vivre avec des gens déjà dans la vie active. Il y avait Marion, qui bossait en RH, et qui m’a donné des conseils de fou pour mes candidatures de stage. Et puis Thibault, qui bossait en remote depuis le coliving, m’a appris deux-trois trucs sur Notion et l’organisation, que j’utilise encore tous les jours. C’est hyper stimulant d’être entouré de gens qui font des choses différentes, mais qui sont toujours prêts à partager.
J’ai eu un moment un peu dur en plein mois de mars. Trop de boulot, trop de fatigue, pas le moral. Dans un appart classique, je pense que je me serais renfermé. Là, sans même avoir besoin de dire grand-chose, les colivers ont capté. Un soir, on a improvisé une soirée crêpes – on a parlé de tout et de rien, j’ai ri pour la première fois depuis des jours. C’est peut-être bête, mais ces moments-là, ils m’ont fait un bien fou.
Ce que j’aime, c’est que le coliving, ce n’est jamais monotone. Un jour, tu fais un brunch avec tout le monde, le lendemain tu regardes un match avec deux-trois personnes, et parfois tu t’isoles dans ta chambre quand t’as besoin de calme. Il y a une vraie liberté, mais aussi une énergie collective qui tire vers le haut. Même faire la cuisine devient un moment sympa. On se refilait des recettes, on faisait des courses ensemble… Un soir, on a même organisé une soirée « tapas du monde », c’était mémorable.
Cette année, j’ai réussi mes examens, j’ai trouvé un stage que j’adore, et surtout… j’ai rencontré des gens qui comptent vraiment pour moi. Tout ça, je le dois en grande partie au coliving. Ce n’est pas juste un logement avec des gens autour. C’est un mode de vie. Et franchement, je ne suis pas sûr que j’aurais aussi bien vécu cette année sans ça.
Maxime, 22 ans.
Master 1 en communication digitale à Lyon.
Le témoignage de Maxime est loin d’être un cas isolé. Chaque jour, dans les résidences Compose, des étudiants et jeunes actifs tissent des liens, s’entraident, évoluent ensemble… et vivent des expériences qui méritent d’être partagées.
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